Olivier africain ou Olivier sauvage.

Ce bois de haute densité est typique des hauts plateaux sud-africains. Il peut atteindre une hauteur record de 18 mètres et un feuillage d’une largeur de plus de 40 mètres. La majorité des arbres sont cependant de taille moyenne et petite.   La structure du bois est généralement très irrégulière.

La récupération de planche de bonnes dimensions requiert un personnel bien formé et expérimenté pour cette tâche difficile.

La masse principale du tronc est jaunâtre à rougeâtre avec des cernes noirs bien marqués ce qui en fait un bois très esthétique. Il est fort apprécié pour la fabrication de petits meubles, le tournage et la sculpture, il trouve des applications pour les instruments de music anciens.

Les applications les plus populaires pour boîtes à cigares, écrins à joyaux, plats, manches de couteaux, plumes et stylos et figurines de jeux d’échec.

Nos clients en ont conçu des flûtes de renom et aussi des clarinettes et instruments anciens.

Les apports de ce bois sont soumis à concession, permis de coupe et de transport.

Le bois est dur, lourd et de faible porosité. L’écorce est grise à brun noir. L’aubier est blanchâtre. Le duramen est de jaunâtre à rougeâtre avec des cernes noirs bien marqués. Il est esthétique d´où ces nombreuses applications.

Procédé de sciage : ce bois est dur il est donc découpé par étapes. Dans une première étape le bois est découpé en planches en utilisant une scie à ruban horizontal flexible. Dans une deuxième étape le bois est découpé sur une scie à panneau équipée de lames au tungstène. Un bain de sucre de savon permet un nettoyage efficace des lames de coupes.

Séchage : ce bois se sèche que très lentement. Les planches sont reposées plusieurs années pour être découpées en lamelles sans qu’elles ne se déforment.